MAGNUS ϟ « sans colorants ni conservateurs. non testé sur les animaux. »

⚡ Date d'inscription : 22/05/2011 ⚡ Messages : 19

❝ Magnus Monteig-Draw ❞

'Cause you're the best paint life ever made.

Je m'appelle Magnus et j'ai vingt-sept ans. Je suis née le premier juillet, à San Fransisco. Ma vie je l'aime comme elle est et ça grâce au faite que je sois infirmier. Par contre niveau personnel c'est pas toujours facile aujourd'hui je suis en couple, et c'est comme ça. Je traine souvent avec les love addict, se sont de bons amis à moi ils me font bien rire surtout lorsqu'ils affirment que je ressemble à jesse williams.

every morning i shoot my pets

J'ai des tics et des manies bizarres, je trouve. Alors j'ose pas vraiment les dire. Se cache sous sa blouse. Mais bon puisque j'y suis obligé et qu'en plus il vous en faut quinze lignes, allons-y. On me qualifie de maniaque, parce que j'ai l'habitude, de me laver le matin en faisant toujours les même gestes, avec le même savon, le même shampoing, le même dentifrice. En fait, le matin, jusqu'à ce que j'ai déjeuné, je suis un automate. Après, ça va mieux. Aussi, étant donné que je travail à l'hôpital, j'ai l'habitude de me laver les mains.. cent à deux cent fois par jours dirons nous. Du coup, je le fais aussi chez moi. Ma hantise, avoir les mains sales. Du coup, j'ai l'impression que même chez moi, à chaque fois que je touche un truc, je file me laver les mains. C'est assez bizarre mais moi, je ne m'en rends pas compte.. Siri, si. Sans compter que tous les mercredi soir, devant ma série infirmière préférée, je mange de la glace au nougat. La glace au nougat n'est plus un pêché mignon, c'est devenu carrément une obligation, le mercredi soir devant la télévision. Sans ça, je ne peux pas regarder ma série. Elle fait partie de mon quotidien. Et j'ai l'impression de passer pour un fou. Voilà je vous ai tout dis. Heureux ?

Je m'appelle bullshit et Pauline et j'ai 17 ans trois quart. Je viens de France. Je suis ici parce que j'aime le forum et puis c'est surtout grâce à bazzart. Les banners, gifs et icons de ma fiche on été fait par un artiste du nom de tumblr.

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tell me the story about your first love

L'hôpital, j'en ai rêvé toute ma vie. Sauver des vie, en voir naître et puis, en voir mourir. C'est la dur loi d'infirmier que je m'impose. J'avance, sans bruit dans le couloir. Personne ne fait attention à moi. Moi, je fais attention à tout le monde. Je découvre enfin le métier qui me laisse rêveur depuis tant d'années. Les infirmiers cours, me bousculent mais rien n'y fait, je reste stoïque dans ce monde de fou auquel je fais maintenant partie. Moi, Magnus Monteig-Draw, je rentre désormais dans le cercle des infirmiers. " Monsieur Monteig-Draw ? Ne traînez pas s'il vous plaît, nous sommes en sous-effectif et on a besoin de vous maintenant. " Là, tout de suite ? Je n'ai pas le temps d'apprendre à connaître mon lieu de travail que déjà je suis propulsé dans une salle d'opération ou un chirurgien et deux infirmiers luttent sur un cas apparemment compliqué. J'enfile mon habit de travail, me lave les mains pour la première fois ici, enfile des gants et ai juste le temps de me présenté que déjà on me demande des bistouris et de boucher l'artère de la patiente qui perd tout son sang. J'ai peur, mais cette vie me plaît. Je serai fier, après cette opération, de me dire que cette femme sera la première que j'aurais sauvé de la mort.
Assis dans mon lit, j'écris à ma mère. Elle est morte, depuis cinq ans déjà mais je continue de lui écrire. Puis, je brûle les lettres pour que la cendre s'envole vers elle. J'ai conscience qu'elle ne me voit pas ou qu'elle ne m'entends pas. Mais ça me fait du bien de penser qu'elle s'intéresse à moi d'où elle est et qu'elle suis ma vie, en étant fière de moi.
Maman, la vie sans toi me paraît encore bizarre après cinq ans. Je te le dis à chaque fois mais, tu me manques. Affreusement, chaque secondes. J'aimerais tellement que sois là. Tu serais fière de moi, maman. Je te le promets. Et j'espère que de là où tu es, tu l'es. Si je trime tous les jours autant, c'est pour toi. Si j'ai passé toutes ces années sans réellement sortir, à réviser et m'occuper de Jheylann, c'est pour toi. Pour que tu sois fière de me voir aujourd'hui dans cet hôpital à sauver des vie, en voir naître ou en accompagner jusque là où tu es. Et Jheylann. Je la pousse pour qu'elle aussi, ait le mérite d'être fière de toi. Est-ce que je t'ai déjà dit qu'elle voulait devenir professeur de danse classique ? Comme Siri. Oh, et Siri. Tu sais maman, je l'aime. A un point que tu n'imagines pas. Je la vois bien mère de mes enfants plus tard. Elle est si parfaite.. Ou presque. Mais de toute manière personne n'est parfait. Elle, elle y est, à sa manière. Et je l'aime pour ce qu'elle est. Enfin bon.. J'ai vu la mort aujourd'hui. Pour la première fois de ma vie. Et pour ma première opération. Je pensais, tu sais, me dire que ma première opération serait une réussite, que je serai fier de me dire que pour ma première fois, j'aurais sauvé une vie. Mais non, je l'ai vu mourir. J'ai eu son sang sur mes mains. J'ai mal, j'ai affreusement mal. Mais je suppose que ça va passer. Que je finirai par m'habituer à la mort comme à la vie. Ce qui est sûr, c'est que je ne m'habitue pas à ta mort, maman.

" Dis-moi mon chou, je te paye un verre ? " La jeune femme en face de moi me regarda d'un air coquin en se mordant la lèvre inférieure. Elle n'attendit pas ma réponse, posa sa main sur mon torse et s'en alla au bar commander deux verres. Siri allait bientôt revenir des toilettes et j'allais certainement me faire tuer. Et la blonde qui venait me draguer également. " Je ne voudrais pas être mal poli mais .. " elle posa son doigt sur ma bouche en me tendant mon verre. " Tais-toi mon joli. " T'emballe pas ma belle, tu vas te prendre une magnifique tarte dans cinq, quatre, trois, deux, un.. " Espèce de garce ! " Siri la furie venait de refaire surface dans la boîte, sortant des toilettes, son regard énervé et un rictus sur les lèvres. Siri tapa un coup dans le verre de la blonde qui se déversa sur sa robe à paillette ras la touffe. Un sourire se posa sur mes lèvres. La situation était honteuse mais dans ces moments là, j'étais aussi énervé que surpris et fier de ma copine. Énervé parce que Siri m'énerve lorsqu'elle est jalouse et possessive. Ses crises la rendent complètement imprévisible et je ne la supporte pas lorsqu'elle est comme ça. Surpris et fier, déjà parce que Siri est super sexy lorsqu'elle est comme ça et la voir défendre sa propriété, je ne sais pas, ça me rend tout chose. " Ça va tu t'amuses bien ? J'peux pas te laisser deux minutes sans que tu t'approches d'une blondasse ! ". Une énième crise. Je soupire, tente une approche qu'elle repousse. " Siri arrête. Tu gueules alors que tu ne sais même pas ce qu'il s'est réellement passé. Chérie.. " Elle me répond du tac au tac. Son comportement m'énerve. Elle veut toujours avoir raison. Ah, les femmes.. " Bien sûr, tu es un ange toi ! ". Je soupire, la prend par le bras et l'entraîne dans le couloir des toilettes où nous sommes au calme. " Arrête ta parano maintenant je commence à en avoir ma claque ! Est-ce que j'ai fait quelque chose de mal ? Tu n'as rien vu à part une blondasse à un mètre de moi. " Elle me fixe, son regard s'atténue. Elle sait que j'ai raison mais elle ne veut pas l'admettre. " C'est déjà trop. " Je souris. Elle est incorrigible mais c'est pour cela que je l'aime. Je pose ma main sur son visage et approche mes lèvres des siennes jusqu'à ce qu'elles se touchent et s'entrent-mêlent. Cette foi-ci encore, tout se termine bien. Putain ce que j'aime cette fille.