every morning i shoot my pets

Passer souvent sa main dans ses cheveux lorsqu'ils deviennent un peu longs ▽ Laisser toujours tout traîner, sans jamais rien retrouver ▽ Ne peut s'empêcher de relooker les filles lorsqu'il les trouve à son goût ▽ aime embêter sa soeur Phoebe ▽ Ne sait pas comment il doit draguer Davy, et c'est la seule qui le rend aussi confus ▽ adore prendre un café, dès qu'il est trop stressé, ou bien fatigué, surtout pendant qu'il travaille ▽ Se recoiffe tout le temps, lorsqu'il passe devant la caméra (ben oui, il est famous comme journaliste mon Andreas ) ▽ Ne crois pas aux princesses charmantes, et aux contes de fées comme la plupart des hommes ▽ est à la limite de la nymphomanie ▽ Il est toujours soigneux, et hais sentir mauvais. Il hait tellement cela que ça lui arrive de prendre trois douches dans la journée ▽ Il aime bien se sentir bien chez lui, alors ça lui arrive de se balader en boxer dans l'appartement, ce qui a l'air d'enchanter Davy ▽ C'est un adepte du proverbe " une blonde pour une nuit, une brune pour la vie. " sauf que Davy est blonde, ou brune, ça dépend de quelle coloration elle a ▽ Adore passer du temps avec son frère Roméo, et un de ses meilleurs amis, Elisha (qui est aussi son ami d'enfance) ▽ Aime son métier, et aimerait être encore plus connu, et faire le tour du monde grâce à ça ▽ Fais énormément de sport 15 minimum

tell me the story about your first love

« Romeeoooo ? Tu l'as mis où mon […] MAIS ROMEO, C'EST MON ACTION MAN, LE TIEN IL EST LA BAS ! » cria le jeune garçonnet, après son frère jumeau. Ils se ressemblaient, mais on pouvait facilement voir que c'était de faux jumeaux. Ils n'étaient pas similaires. Ils avaient les mêmes cheveux noirs, les mêmes yeux bleus, la même peau, la même corpulence, la même taille, presque tout pareil, sauf leur manière d'être, et la forme de leur visage. « Mais t'énerves pas Andreas, on joue ensemble ? » proposa t-il, sans une pointe d'agacement dans sa voix. Mais Andreas eut à peine le temps de parler, qu'il fut couper par sa mère, qui les appelés, tous les deux. « Romeo, Andreas, descendez, j'aimerai vous parlez ! » demanda t-elle, en élevant un peu la voix, pour se faire entendre. Les deux jeunes garçons, dociles, descendirent les escaliers, et vinrent la rejoindre. Elle était impassible, essayant de retenir ses larmes, assise sur le canapé. « Tu fais la tête m'man ? » demanda Andreas. « Non mon cœur, asseyez-vous, il faut que je vous dise quelque chose. » dit-elle, en leur montrant le canapé, qui se trouvait en face d'elle. Andreas et Romeo vinrent tous les deux prendre place sur le fauteuil désigné, sagement. Elle reprit « Vous savez, hier, Papa et moi on s'est disputé... » ils acquiescèrent, nullement surpris, habitués à les entendre élever la voix, et à se crier dessus chaque soir depuis quelques mois. « Et bien... On a décidé qu'il faudrait mieux, que je parte quelque temps, mais, on se verra souvent mes amours, c'est d'accord ? » disait-elle tout doucement. Les deux jumeaux se regardèrent chacun leur tour. Ce n'était pas ça une maman, si ? Elle était pourtant là pour les protéger, pour les couver, contre tous les dangers de la vie. Mais voilà qu'elle les laissait, avec leur père, tout seuls. Voilà qu'elle partait refaire sa vie, car celle-ci ne lui convenait plus. Et silencieusement, ils allèrent se réconforter dans les bras de leur mère.

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DEUX ANNEES AUPARAVANT ;

« Écoute Phoebe, j'ai vingt-quatre ans, t'en as vingt, je pense qu'on est assez grand pour qu'on puisse être ensemble tous les deux non ? Enfin, on a qu'à être discret au début, c'est tout ! » souffla t-il à sa sœur, juridiquement parlant. Non Andreas ne draguait pas sa vrai sœur. Il la connaissait depuis qu'elle avait quatorze ans, et l'avait toujours trouvé mignonne, mais sans plus. Avec l'âge, elle s'est embellie, et depuis peu, ils s'étaient rapprochés un peu trop, et flirtaient presque ensemble. Il caressait doucement sa joue, la regardant dans les yeux. « Mais s'ils se doutent de quelque chose ? On est censé être frère et sœur je te rappelle. » disait-elle, sûrement stressée. « Tu m'énerves tu sais ? On peut rien promettre, mais même si nos parents le découvrent, que veux-tu qu'ils disent ? On a aucun lien de sang ! » faisait-il, en souriant, essayant de la convaincre de sortir avec lui. Elle esquissa un sourire timide, se mordit la lèvre, puis souffla en posant ses mains sur la taille du jeune homme. « Soyons fou, tant que nous le pouvons. » elle déposa ses lèvres sur celles du jeune homme, et ils s'embrassèrent pour la seconde fois. Ce baiser là signifiait le début de leur idylle.

DE NOS JOURS ;

« Aaaah, on l'attendait enfin notre fils ! Il ne manquait plus que toi pour le repas, on t'attendait ! » souffla l'homme d'une cinquantaine d'années, « Papa Hawkes », qu'on l'appelait. Andreas esquissa un sourire, puis alla enlacer son père. « Désolé chef, je finissais le boulot assez tard ce soir, mais j'suis enfin là, merci de m'avoir attendu ! » fit-il sur un ton sincère. Il se détacha de son père, alla enlacer son frère jumeau, puis ils se dirigèrent tous les trois dans la salle à manger, le principal lieu de la soirée. Phoebe était là, déjà assise, puis se leva, par pure politesse, afin de dire saluer son demi-frère. Elle prit son temps pour lui faire une bise, afin de lui chuchoter « Alors, elle était bonne la fille qui traînait dans ton lit cette fois-ci ? » murmura t-elle sur un ton, rempli de mépris, ce qui eut le don de faire sourire Andreas. Le jeune homme savait qu'il avait déçu sa sœur, auparavant, lorsqu'il était avec elle. Ils étaient restés deux mois tous les deux, et Andreas n'avait pas supporté de n'avoir aucun rapport sexuel avec la jeune femme, qu'il avait rompu. Phoebe pensait qu'il n'était pas comme les autres mecs, mais depuis ce jour, ils étaient en quelque sorte en froid, faisant semblant de bien s'entendre lorsqu'ils étaient avec leur famille. C'était d'ailleurs à cause de cela aussi, que Andreas n'avait pas voulu emménager avec sa sœur et son frère : il ne voulait pas s'en prendre plein la tête par Phoebe, et voulait vivre tranquille, alors il n'était que leur voisin. « Sois pas jalouse Phoebe, tu aurais pu être à leur place toi aussi, tu avais eu le choix. » répondit-il. Ils se souriaient d'un air hypocrite. Voilà comment était leur quotidien ensemble à présent.




« Tu vas pas te coucher Davy ? » demanda Andreas surpris, alors qu'il était vingt-trois heures, et qu'ils travaillaient tous les deux le lendemain matin. « Nop', je regarde un film, mais ça va pas te plaire, c'est un peu cucul tu vois. Et tu vas être fatigué pour demain. » dit-elle en lui souriant. Il haussa les épaules et alla dans sa chambre. Une vingtaine de minutes passèrent, lorsque le jeune homme revint vêtu d'un simple caleçon, et de sa grande couette qui provenait de son lit. « Je n'arrive pas à dormir en réalité, j'peux venir ? » demanda t-il, d'un air tout mignon. Elle le regardait en rougissant un peu, heureusement qu'il faisait noir dans la pièce. Elle lui laissa une place sur la canapé, et tapotant sur la place libre, pour qu'il y vienne. Il souriait, prenant place, et il lui donna un peu de sa couverture. Elle vint déposer sa tête sur le torse du jeune homme, et ils regardèrent le film. On aurait pu penser à ce moment là, qu'ils étaient ensemble, et heureux. Ensemble non, heureux, peut-être, mais ils pourraient l'être plus. Parce qu'ils étaient de véritables âmes sœurs, et qu'ils étaient tout simplement fait pour être ensemble. Mais pourtant, aucun des deux n'osaient penser à cette réalité : Andreas qui était trop dragueur, et Davy trop timide. Chacun des deux, pensaient qu'ils n'intéressaient pas l'autre. Mais ils se trompaient sur tout, car tous les deux, ils s'aimaient de cet amour rare, et peu commun.




« Davy ? T'aurais pas vu mon Macbook, je le cherche par... » demanda le jeune homme en ouvrant la porte de la chambre de sa colocataire, la découvrant en sous-vêtement. Il ne referma pas la porte, restant planté là, la bouche ouverte, surpris. « Qu'est-ce que tu regardes comme ça ? Ferme la porte merde, tu vois pas que je me change ! » criait-elle en le regardant, rouge comme une tomate, furieuse d'être aussi gênée que cela. Il reprit conscience, puis referma la porte de sa chambre. « Quand tu m'as vu à poil dans la douche, ça me gêne pas ! Alors tu me dois un strip-tease Davy ! » répondit-il en riant, retournant dans la salle, attendant qu'elle finisse de se changer. Elle sorti quelques minutes après de sa chambre, puis repris « On t'a jamais appris à frapper à la porte Andreas ? T'es chiant si tu savais ! Oh et puis, tu n'as qu'à ranger tes affaires aussi, je sais pas où il est ton Macbook ! Cherche le bon sang. » fit-elle, toujours aussi gênée, pour ce qu'il venait de se passer tout à l'heure. « Sois pas gênée Davy, c'est pas comme si je t'avais vu nue. Et puis, tu as un jolie corps, t'as déjà pensé à faire de la photographie ? » demanda t-il, pas plus gêné que ça, en allant se prendre un cookie, dans la boîte qui se trouvait sur la table, non rangée. « Tu ramènes toujours une fille dans l'appart, t'es un gros coureur de jupon, alors ça me paraît normal que je pète un cable si tu me vois en sous-vêtement, car je sais que tu mattes ! Point barre. Et non la photographie me tente pas ! Oh et puis, j'ai pas envie de te parler, j'vais faire un tour ! » dit-elle en claquant la porte, un peu trop fort. Il esquissa un sourire, puis marmonna à lui même. « Bon ben là... C'est mort. »